samedi 4 octobre 2008

Jour 6

Réveil sur cette plage qui se remplie très vite, toutes les gens nous regardent comme si nous étions des pestifèrés "me dites pas qu'ils ont dormi dans une tente "..." la jeunesse est vraiment de plus en plus perdue"..."ils on peut être la peste, le choléra" c'est ce qu'il devaient penser.
Le midi direction un Pan's and Company, un fastfood toujours pas très espagnol mais très nourrissant. L'état de la valise est de plus en plus à depleurer le coeur va bientôt lacher on le sent.
Dans la rue scène de ménage violente en directe et rencontre d'un anglais qui à 13h00 -alors que la chaleur est la plus forte- a eu la bonne idée de se saouler et de fumer de la marie-jeanne, un peu space.

Direction ensuite la estacion de autobuses, notre prochaine destination est vers la fraicheur 35 degrés et la verdure -des arbres choses que l'on n'a pas vu depuis longtemps mis à part les palmiers et les datiers- c'est GRANADA. Dans le car Lola se fait un copain un petit Papi qui venait du musée de Picasso à Malaga il vit a Grenade, ilo nous donne;l'adresse d'un camping pas cher et d'un restaura,t ou la paella est excellente.
Arrivée la bas on tombe assez vite sur le camping, 30 euros par personne la nuit ca va pas le faire on continue.(Grenade est une ville tres chere pour les touristes comme pour les locaux, beaucoup de maison abandonnée en Andalousie faute moyen les gens abandonne les maisons, beaucoup de squats).
Intervient le drame, nous sommes épuisés, le chemin est encore long pour aller a l'endroit que Coline connait, je petes un plomb assez impressionant, STOPPP j'en peux plus, notre route se sépare donc l'espace d'un nuit les filles ont trouvé une bande de jeunes vivant dans un squat, pour ma part je suis rempli de préjugés je l'avoue et j'ai peur d'un peu tout ce que je ne connais dans ce qui pour moi est un sale plan, et merde chacun assume ses choix!!!
Cela ne resoud pas mon probleme de logement, j'ai du faire une 20taine de petits hôtels, sans chambres de libres, en réalité je ne devait pas avoir le bon profil car les gérants me stopaient avant que je puisse rentrer. A bout de nerf, en crise de nerf, au bord de chioler et crier "allez tous vous faire foutre" j'essais un autre hotel, là celle que j'appelerai Carlita voit que je ne suis pas bien elle me donne une petite chambre, le lendemain elle baissera le prix de 10 euros pour m'aider, plutôt généreuse. Le soir je m'occupe à regarder la télé espanole garnie de 3 chaine d'astrologie, 4 de musique et les autres de feuilletons. Une bonne et vrai douche, lavage de dents, mon corps est écarlate, je m'enduit de biafine, je ne dort pas beaucoup -je m'inquiete pour mes companeras- mais je dort bien sur mes coups de soleils.

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